Il est parfois amusant de se replonger dans des romans de science-fiction écrits dans les années 1950. A cette époque d’après-guerre, durant laquelle on avait vu les armements comme les engins militaires devenir de plus en plus perfectionnés, on imaginait l'avenir comme une période où les technologies se développeraient, permettant à l'humanité de faire des bonds en avant. En quelque sorte, cela s'avère être devenu la réalité aujourd'hui, et l'on peut constater que le marché regorge de produits que les auteurs de SF avaient imaginés entre les mains de leurs héros, du visiophone à l'ordinateur géant communiquant avec le monde entier…
Le cloud facilite les transferts et le stockage
Loin des clichés sur l'an 2000 que l'on pouvait voir il y a une trentaine d'années, il faut reconnaître que les technologies ont évolué très rapidement depuis le milieu du vingtième siècle et ce de façon permanente et croissante. C'est à tel point qu'aujourd'hui ce qui est une évidence pour nous tous – internet, la téléphonie mobile, les transferts d'informations internationaux… – paraîtra sûrement certainement un peu vieilli à nos enfants quand ils auront notre âge. Pour autant, utiliser une plateforme cloud est aujourd'hui ce qui nous est offert de mieux en matière d'échanges de fichiers comme de stockage de données personnelles ou professionnelles.
Vers toujours plus de sécurité
Alors que la littérature du milieu du siècle dernier donnait à voir pour aujourd'hui des humains vivant dans la peur des robots, nous sommes à notre époque plus préoccupés par les hackers et autres pirates informatiques. Ceux-ci, prêts à jouer les anarchistes dans un monde de plus en plus soumis aux législations et aux limitations de diffusion de données personnelles, font craindre des pillages de photographies personnelles, de codes de cartes bancaires et de bien d'autres données sensibles. D'où le fait que l'on concentre aujourd'hui de nombreuses énergies dans le but de développer la sécurité informatique, à destination des entreprises comme des particuliers.
